Peux-tu nous parler de toi en quelques phrases, ton parcours et ta situation actuelle ?
Je m’appelle Jeremy, je vis actuellement sur Lyon.
J’ai commencé comme vendeur avant de prendre la direction de petits points de vente, pour ensuite devenir responsable mobile d’un réseau de magasins et de corners.
La suite logique liée à l’évolution de la vente a fait que je me suis intéressé aux métiers du e-commerce, tout d’abord en autodidacte, avant de passer par la suite, un diplôme universitaire
de responsable de site e-commerce et e-tourisme appliqué au développement du territoire.
Au fil de mon parcours, j’ai donc eu l’opportunité d’apprendre la typologie client, la gestion d’équipe, les techniques de vente et de suivi de clientèle.
J’ai du mal à trouver un emploi fixe, mais je travaille régulièrement, en missions, comme chef de projet ou consultant, pour la mise en place de sites ; je donne également des cours en CESU
de Webmarketing et de référencement naturel.
Je suis donc à la recherche d’un poste. Bien que les expériences et les missions que je fais me passionnent, il est vrai que j’ai déménagé + de 8 fois en 2 ans pour travailler et que cela est
assez dûr à vivre au quotidien
Up To Youth souhaite réunir la génération des 18-30 ans. Comment décrirais-tu cette génération ?
Je dirais que nous sommes la génération communication et évolution grande vitesse.
Quelles sont les différences les plus flagrantes entre l’idée du travail que tu as ou que tu pouvais avoir et la réalité ?
J’ai été très tôt dans l’univers professionnel, et c’est vrai que le fait d’avoir beaucoup d ‘employeurs differents, permet de comparer différentes tailles de structure et leurs
contraintes.
Qu’as-tu entrepris de faire pour présenter ton talent aux yeux des recruteurs ?
J’avais tenté un coup de poker, en proposant à l’employeur de lui créer bénévolement et gratuitement un site web, en lui disant » si votre site fonctionne vous me gardez, si ce n’est
pas le cas, nous resterons en bon terme …
Quelle est ta vision du travail ? Plutôt un moyen de t’épanouir ou simplement de gagner votre vie ?
Il est vrai que l’on ne fait pas » tout le temps » des choses qui nous passionnent, mais si sur une expérience, j’ai 90% de plaisir, de challenge et de motivation, j’estime que
c’est fantastique.
Qu’est-ce que tu attends de la part d’Up To Youth ? Qu’est ce que la plateforme peut t’apporter ?
Le concept UptoYouth, me permet de rester en veille créative, et de rester au fait de l’actualité, je me suis meme fait des équipiers, avec qui j’echange et parle de stratégie de
communication.
Un message à passer aux entreprises et aux recruteurs ?
Je me permettrai de dire » Bonjour, si jamais vous vous reconnaissez dans mes paroles, et que vous avez envie d’avoir dans votre equipe, un collaborateur qui a très envie de tout faire
pour que votre image de marque, incite vos consommateurs à prendre du plaisir à aller dans vos points de vente… contactez moi
Article de presse, pour saluer l'accueil du crochet de raseteur, et la sortie du nouveau Jouet camarguais, le TRIDENT
"
S i nous rencontrons Jérémy Lafaurie aujourd'hui à Aimargues, c'est parce qu'il a contribué au développement d'une auto-entreprise de la commune, ''Le petit raseteur''
Originaire d'Arles, Jérémy Lafaurie est passionné par la culture et les traditions de sa Camargue natale. Travailleur nomade, il parcourt la France pour aider les entreprises et les particuliers à parfaire leur image de marque via le web local.
Si nous le rencontrons aujourd'hui à Aimargues, c'est parce qu'il a contribué au développement d'une auto-entreprise de la commune, ''Le petit raseteur''. Pour cela, il a créé un site
intuitif, qui se veut « humain » et accessible aux enfants, puisqu'il leur est en partie destiné.
Il y a un an, on a pu y découvrir le « crochet » du petit raseteur . Ce jouet est la réplique exacte du crochet de raseteur, qui sert a enlever des attributs sur la tête d'un taureau lors des
courses camarguaises. C'est un objet adapté a la main d' un enfant, solide et totalement inoffensif puisqu'il il est fabriqué en matières plastiques, dans une plasturgie de la Drôme. Les
finitions sont cependant effectuées à la main.
Le souhait des concepteurs est de “populariser un sport départemental méconnu et victime d'un amalgame avec la corrida où le taureau est mis à mort“
La course camarguaise est un jeu taurin d'agilité et de courage, un jeu populaire qui attire le grand public et énormément d'enfants.
Devant le succès remporté par cette première création, un second article fera bientôt son apparition, ''le trident''.
Vendus essentiellement, sur internet, les jouets gagneront progressivement les étals de commerces ciblés ( boutiques souvenirs en bord de mer, cavalerie, sellerie,...)."
Article sur ma personnalité, mes projets, mes actions et ma rencontre avec Jennyfer pour le projet E-relooking.fr
L’e-marketing et la communication digitale sont des domaines qui attirent de plus en plus de jeunes entrepreneurs, mais les places y sont chères.
Jérémy Lafaurie, nouvel arrivant à Villeurbanne, aimerait bien y faire sa place. « C’est dur. J’ai déménagé huit fois en deux ans. Je vis au rythme des CDD et des missions d’intérim. Je parcours plus de 2 500 km par mois pour ma recherche d’emploi.
Le point positif, c’est que je me forge une expérience importante et ai une bonne connaissance de la réalité du marché. »
Le jeune chercheur de CDI de trente ans regorge de projets pour mettre en avant ses compétences.
« J’ai un parcours décalé, j’étais autodidacte mais en France, sans diplôme, on n’a rien. Alors j’ai repris des études pour avoir le fameux diplôme ; Je me définis comme un créateur d’images d’entreprises. » Las, Jérémy met son expertise au profit de start-ups. « J’ai rencontré Jennyfer Mayet, jeune entrepreneuse qui a monté un site de e-relooking à Grenoble, que j’ai aidée. Je recherche des jeunes talents pour mettre en scène des produits, créer des univers décalés. Je crois en la mise en avant de personnes qui ont un travail intéressant, pour sortir du lot. »
http://jeremy-l.jimdo.com
http://www.e-relooking.fr "
Depuis peu, et étant diplômé en e-commerce et e-tourisme, je propose mes services à des particuliers et des étudiants, et donne ainsi des cours à domicile d'utilisation d'internet, d'utilisation de logiciels pour la construction de blogs ou de sites internet, de logiciels de retouche d'image, de compréhension des outils Google (analytics, adwords, outils webmaster, ...) et beaucoup d'autres choses en fonction des besoins ou des attentes.
On voit également l'utilisation des reseaux sociaux, la gestion de la confidentialité, les achats sur internet (reconnaitre les sites malveillants, ...)
La rémunération se fait en CESU (Cheque emploi service Universel):
"Le chèque emploi-service universel (CESU)
Synthèse
Le chèque emploi-service universel (CESU) est un dispositif permettant à un particulier employeur de déclarer et rémunérer des activités de services à la personne. Ces services sont en principe rendus au domicile du particulier ; il peut également s’agir d’activités exercées hors du domicile dès lors qu’elles s’inscrivent dans le prolongement d’une activité de services à domicile.
Le CESU présente plusieurs avantages :
Il simplifie les démarches déclaratives de l’employeur. Le Centre national du CESU (CNCESU) effectue le calcul et le prélèvement des cotisations et adresse une attestation d’emploi au salarié qui dispense l’employeur d’établir une fiche de paie ;
il ouvre droit à une réduction ou à un crédit d’impôt sur le revenu et sous certaines conditions, à une exonération de charges patronales.
L’adhésion au CESU peut se faire directement en ligne (www.cesu.urssaf.fr) ou auprès de son établissement bancaire habituel ou encore auprès de l’Urssaf. Quelle que soit la modalité d’adhésion utilisée, l’employeur a toujours la possibilité de procéder aux déclarations relatives à l’emploi du salarié via Internet.
Quelles sont les activités comprises dans les « services aux personnes » ?
Les activités qui entrent dans le champ des services à la personne sont les suivantes :
(Source : Travail-emploi.gouv.fr) "
Comment Payer en CESU :
La culture reste une source inestimable d’inspiration pour les entrepreneurs… Et en Camargue il faut bien admettre qu’on a de la suite dans les idées ! Daniel Hubert, employé de l’usine Perrier de Vergèze, vient de décliner le crochet du raseteur en jouet pour enfant ou, pourquoi pas, un souvenir de vacances à destination des touristes tombés sous les charmes des jeux taurins. Puisque l’idée est bien là, “populariser un sport départemental méconnu et victime d’un amalgame avec la corrida où le taureau est mis à mort“.
“La course camarguaise est un jeu taurin ou il n’y pas de mise à mort de l’animal, c’est un jeu d’agilité et de courage, et qui a donc un attrait grand public et populaire, car il est noble. On voit d’ailleurs beaucoup d’enfants lors de ces manifestations“, précise Jeremy Lafaurie qui a pris part à l’aventure.
"J'ai concu un site tres simple à naviguer et compatible tablettes, pour que les enfants puisse etre attirés par les couleurs et les formes "
Pour un coût de 12 euros, le jouet est fabriqué en France, dans la Drôme, dans une entreprise de plasturgie. Si le joujou vous séduit, vous pouvez le commander sur le site : http://le-petit-raseteur.com
Lafaurie Jérémy DU - E-commerce et E-tourisme
PROMO 2012
”J'ai rencontré des intervenants très professionnels“
À l’heure d’internet, certains commerces ont choisi de s’adapter aux nouvelles formes de communication. C’est le cas de « Naïs-bio », tout récemment installé à St-Paul-Trois-Châteaux, à côté de « Leclerc Auto ».
Aujourd’hui, nais-bio.com est la première boutique en ligne de produits 100% bio et 100% fabricants français (hors gamme accessoires).
Myriam Garnier, une consommatrice en quête de qualité et de confiance, est à l’origine de ce concept: convaincue de l’intérêt du bio, elle a choisi Internet pour faciliter l’accès aux produits, promouvoir l’achat éthique, et offrir une meilleure connaissance des marques qui ont fait l’histoire et feront l’avenir du bio en France.
Son projet est arrivé au bon moment pour des professionnels en réflexion sur le e.commerce. Fabricants pionniers, grandes marques reconnues, jeunes entreprises en devenir se sont réunis grâce à naisbio.com autour d’une charte d’engagement et d’un désir commun: guider le consommateur vers la source du bio, source de santé, de qualité, d’éthique, de transparence et d’excellence.
Un site atypique piloté par Jérémy Lafaurie
Après une approche du commerce traditionnel avec ses parents dans le magasin « Cuir Boutique » à Pierrelatte, Jérémy Lafaurie a repris ses études pour obtenir une formation e-commerce et e-tourisme qui prépare à la mise en valeur des territoires et des produits régionaux.
Il a notamment collaboré au projet artistique « Shœs and Art », développé par Jean Rian à Avignon, et depuis son retour dans la Drôme il travaille pour « PPF » à Romans (composants pour l’industrie de la chaussure de luxe) et pour le lancement du site de Naïs-bio.
« Le site ouvert en janvier se veut atypique, c’est pour ça que je suis là » précise Jérémy. Le jeune homme s’attache à apporter du dynamisme au site avec une approche différente, originale: des spots vidéo sont tournés régulièrement avec l’association « Rodéo Prod » de Pierrelatte et une petite équipe de passionnés qui présente les produits, des rencontres gustatives et culinaires sont filmées avec des traiteurs et des cuisiniers (avec Anaïs des « Délices d’Anaïs » à Pierrelatte, un projet avec « Elle et Lui » à Saint-Paul-Trois-Châteaux).
Autre originalité, des partenaires (magasins de prêt-à-porter, cuisinistes) jouent le jeu en s’associant à ces spots: « Mod’Etic » habille les acteurs du tournage, les cuisinistes prêtent leurs décors (comme par exemple « Campillo » à Pierrelatte ou « Tridome » à Bollène lors du dernier tournage).
Les bloggers se prêtent également au jeu en proposant des recettes avec les produits du magasin (certains sont référents chez « Naïs-bio »!).
Enfin, le « flash code » qui apparaît sur certains produits et qui se lit comme un code barre, permet à tout moment d’avoir des infos (à partir d’un mobile par exemple) et de communiquer, une interactivité appelée « web2.0″ (web participatif communautaire) dans le jargon informatique.
Une belle aventure familiale
Tout est parti de l’huilerie Emile Noël à Pont Saint-Esprit, une PME familiale leader sur le marché des huiles vierges de première pression à froid biologiques, qui possède la plus grande gamme de fabrication d’huiles en Europe (une vingtaine d’huiles différentes).
L’aventure a débuté en 1920 avec l’arrière grand-père Emile pour s’intensifier avec le grand-père dans les années 70, le premier à triturer des graines issues de l’agriculture biologique, un des précurseurs du commerce équitable (en particulier avec le Mali) et du bio solidaire avec les agriculteurs locaux.
Aujourd’hui, leurs descendants, Annick Garnier et ses enfants, poursuivent cette belle aventure. C’est ainsi qu’Annick, son fils David, sa belle-fille Myriam et sa fille Céline ont créé « Naïs bio » (achat en ligne, boutique et drive à Saint-Paul-Trois-Châteaux
L'entreprise PPF à Jaillans spécialisée dans la fabrication de composants du secteur de la chaussure a créé un projet artistique en collaboration avec le photographe TopheTheShooter, et Jérémy Lafaurie dans lequel l'entreprise devient une sorte de vaisseau spatial! Une autre manière, très réussie, de faire découvrir l'industrie de la chaussure!
A 29 ans, Jérémy Lafaurie est un fou du monde du 2.0 ! Chef de projet pour promouvoir pour le concept Naïs Bio de Pont-Saint-Esprit, le Gardois s’est fixé comme but de mettre “l’humain” au coeur de sa campagne publicitaire. Autodidacte, idéaliste et émotif… Jérémy vogue à travers la France, au grès des emplois. Rencontre !
“Je n’ai pas de vie“, voilà comment Jérémy Lafaurie, 29 ans, définit avec humour sa propre existence. Sa jeune existence. Artiste, adepte du “choose and art“, et chef de projet pour développer des boutiques sur le Web, le Gardois a déjà pas mal navigué à travers la France… Son objectif dans la vie : “s’éclater artistiquement“, lance le chef de projet E-commerce pour la boutique Naïs Bio, située non loin de Pont-Saint-Esprit.
Lui, qui a travaillé dès l’âge de 17 ans dans la boutique familliale, a comme on dit “la bosse du commerce” ! Mais une bosse plus sociale : “Je veux faire de la publicité plus humaine, où l’on voit les travailleurs qui s’activent dans les entreprises (…) En clair : mettre de l’affectif là où il y en a pas“, expose l’artiste.
Cette année, le gros projet de Jérémy, pris racine à coté de Romans sur Isère pour l’entreprise de fabrication de composants et pieces pour les chaussures PPF. “J’ai voulu briser les codes de l’industrie, dépoussiérer leur image…“. Comme tout geek qui se respecte, Jérémy a d’abord développé l’image de l’entreprise sur Internet, via les réseaux sociaux. Il a ensuite remasterisé leur site web et a créé un catalogue où l’on voit les formiers, et ouvriers qui s’exercent. “C’est très important. Aujourd’hui on ne voit plus ce qu’il y a derrière nos produits… Les gens tout simplement“, lance l’artiste, désireux de vouloir trancher avec les publicités agressives qui jalonnent nos trottoirs et étouffent nos boites aux lettres.
Cette sensibilité, Jérémy l’a tient du côté maternelle. “Ma mère, fleuriste, m’a toujours dit qu’il fallait mieux ne pas vendre que de le faire de manière agressive”. L’honnêteté son crédo. Un crédo peut-être trop irréaliste ?
Après s’être formé à Toulouse et avoir obtenu son D.U responsable de sites E-commerce et E-tourisme appliqués au développement durable des territoires, Jérémy est revenu dans le Gard, où il avait déjà travaillé en tant que commerçant. ”Avec Myriam Garnier, la gérante de la boutique nous sommes sur la même longueur d’onde“, explique Jérémy. Embauché depuis septembre, il est notamment en charge du web marketing et de l’élaboration d’une stratégie de communication… Une stratégie “qui place l’humain au centre“. Humain et Web, si cela paraissait à certains antinomique, Jérémy veut les réconcilier. Ses projets : établir des flashs codes, pour chaque produit. ” Les clients pourront voir sur leur mobile une jeune femme, Aurélie qui leur présentera le produit“. De plus, ”nous allons aussi réaliser des spots avec des cuisiniers qui réaliseront des recettes avec les produits bio”. Un échange gagnant/gagnant pour le Gardois.
Actuellement en CDD, Jérémy se dit un peu effrayé par les CDI… Epris de liberté, lui qui a déménagé 4 fois cette année veut poursuivre ses aventures, avec ce leitmotiv toujours dans ses valises : dire au PME et TPE, qui constituent le principal tissu économique français, “que la publicité n’est pas réservée à une élite commerciale“.
Pour contacter Jérémy : C’est ici !
Imaginez-vous devant le rayon bien garni d'une boutique bio.
Le produit qui retient votre attention est floqué d'un origami tout coloré. Une feuille pliable gravée de l'inscription" "scannez-moi", ou "flashez-moi". Il vous suffit alors de passer votre smartphone sur le code-barres de l'article convoité et le tour est joué.
Le joli visage d'une jeune femme apparaît. Aurélie, comédienne lyonnaise et bio experte vous embarque alors dans l'univers merveilleux des produits 100 % naturels, qu'ils soient alimentaires ou cosmétiques. Cette histoire n'est pas une fiction. Et encore moins la trame d'un documentaire futuriste. Il s'agit, en effet, d'un concept de vente innovant.
C'est à Myriam Garnier, une Spiripontaine, qu'on doit l'idée. Cette mère de famille et ex-infirmière reconvertie dans le e - commerce lance naïsbio.com, un site de vente de produits bio en ligne. Son plan d'action repose sur trois piliers : un portail, une boutique partenaire "très fluo, moderne et atypique", baptisée Le panier de Naïsbio, et un drive. La clientèle ciblée comprend aussi bien les particuliers que les professionnels.
L'acheteur client peut aussi se faire livrer. La boutique partenaire ouvrirait ses portes cette semaine au quartier de Lonnes, route de Bollène à Saint-Paul-Trois-Châteaux.
Pour mener à bien son projet, Myriam Garnier s'est trouvé un associé qui vit aussi à Pont-Saint-Esprit.
Il s'appelle Jeremy Lafaurie. Titulaire d'un diplôme universitaire dans la branche e-commerce appliquée au développement du territoire, ce jeune homme de 29 ans traîne dans son sillage une carrière dans la mode et la création de boutique en ligne. Il est la tête pensante de la partie technique du projet. C'est lui qui a pensé l'idée d'un spot publicitaire diffusable sur téléphone portable, mais aussi sur la web tv.
Il a également imaginé le design de la boutique toujours autour de la thématique bio. La gamme de produits vendus sur naïsbio.com est fabriquée par l'huilerie Émile et Emma Noël. La PME spiripontaine est partenaire de cette initiative qui va sans doute révolutionner les habitudes d'achat et de consommation des produits bio.
Jérémy Lafaurie
Dans quelle catégorie doit-on vous classer, artiste ou commerçant ?
Je suis un autodidacte du net. Mais je suis d'abord fils de commerçants. Mes parents vendaient des fleurs, des chaussures et de la maroquinerie. J'ai grandi dans cet univers et j'ai ma petite idée sur ce que doit être la relation avec le client. C'est ce que j'essaie de traduire en travaillant sur le projet Naïsbio.
Comment voyez-vous la relation avec le client ?
J'essaie de penser le marketing à l'envers. Je n'utilise pas les process habituels qui me paraissent très contrôlés, très formatés et très agressifs. Je pense au client. On va utiliser pour cela des petits trucs pour leur faire plaisir.
Lesquels par exemple ?
Nos colis vont être parfumés aux huiles essentielles en fonction des saisons. Lorsque le client les ouvrira, il baignera dans un univers agréable. C'est une démarche de plaisir et de fun. On veut montrer que le bio intéresse tout le monde.
Interview présentant, le projet Nais Bio, une boutique on line multicanal de produits biologique, un supermarché en ligne avec une approche multicanal, et une originalité visant à promouvoir, comme toujours la passion des collaborateurs ...
Parution AriegeNews.com & Interview Vidéo ( 04/04/2012)
Voilà déjà plusieurs mois qu’une formation «e-commerce» a vu le jour à Foix. Un des rares secteurs qui ne connait pas la crise.
En Ariège, les chiffres sont honorables, puisque la filière pèse plus de 8 millions d’euros.
Aussi, le nombre d’étudiants qui choisissent de tenter leur chance sur la toile sont de plus en plus nombreux. A l’image de ceux qui ont intégré la formation e-commerce ariégeoise.
Une classe sympathique, atypique, et multiculturelle où se côtoient des profils et des âges différents (la formation est aussi ouverte aux personnes en reconversion ou à des salariés souhaitant
se former).
En ce mercredi studieux dans les locaux du Cetia, ça circule entre les rangées d’ordinateurs, ça s’aide, ça échange.
C’est en tout cas un domaine où il faut être polyvalent: connaître le Droit, avoir des connaissances en marketing, en publicité, en graphisme. Et plus techniquement, savoir tout simplement créer
et faire vivre un site internet. Tout un programme...
Alors pourquoi ces étudiants ont-il choisi de s’orienter vers le e-commerce?
Une voie porteuse...
Michèle, d’origine camerounaise, a été attirée par le fait qu’elle trouverait un emploi facilement après ses études.
Et puis le web est une jungle séduisante, «c’est un domaine qui évolue tout le temps. Le fait que des gens utilisent ce que vous avez créé vous même, ça ramène de la fierté. C’est
valorisant»
Caroline, originaire de Picardie, a quant à elle choisi la formule du contrat de professionnalisation en alternance avec une société locale (les Tissages Cathares).
Passionnée par le web, elle s’imagine «responsable e-commerce» dans une entreprise, ou bien gérer une boutique en ligne, mettre en valeur les produits, gérer les stocks et le contact
avec les clients.
Plus aucun domaine n’y échappe...
Le tourisme, la musique ou même la charcuterie! Il y a peu de domaines où Internet n’a pas encore fait son entrée fracassante.
Aurore (venue d’Aveyron) a par exemple commencé par faire un site internet pour un agriculteur qui souhaitait vendre ses produits. Et c’est pour se perfectionner qu’elle a intégré la formation.
L’idée est de faire passer son site en e-commerce.
Angela (originaire du Costa Rica) vient d’une filière «commerce international» au Mirail, «le e-commerce s’adapte à tout. Et c’est son avantage: cela peut être à l’international et
tous les domaines !»
Le web au service du développement local
Pourtant, les applications du e-commerce inspirent certains pour des applications bien locales.
A l’image de Jérémy Lafaurie (tout droit venu de Provence), avant tout un autodidacte du net, «je travaillais déjà dedans et j’ai
découvert cette formation pour assoir mon expérience, me conforter dans l’idée que ce que je faisais était correct.
Internet évolue de jour en jour. Il y a de nouvelles technologies et il faut les apprendre»
Le jeune homme compte développer un concept de web de proximité. Bref: remettre un peu d’affectif et d’humain dans tout ça.
«Un petit commerçant n’aura pas la même approche qu’une entreprise qui ne fait que du e-commerce sur le net. Il doit créer de l’affectif, du lien avec la clientèle. Ce n’est pas la même
approche»
L’intitulé de la toute jeune formation va en tout cas dans ce sens, «Responsable de site e-commerce et e tourisme pour le développement durable des territoires»
Parution dans DeeLux Dec./Janv. 2012
Petite Pastille dans le PêleMele Photos , Pour l'afterWork du Lancement du Projet N°2
Parution Presse dans la Dépêche ( Edition Ariège ) du 12/11/2011
Jérémy Lafaurie, un jeune homme enthousiaste, des projets artistiques et de communication innovants et des créations sur Internet surprenantes. Rencontre.
Jérémy Lafaurie a 28 ans et des idées plein la tête. « Artistique », un leitmotiv dans les propos du jeune homme tout comme dans ses projets.
Tout récemment arrivé de Provence, le voilà de retour sur les bancs de l'université avec pour objectif d'obtenir un DU (diplôme universitaire) intitulé responsable de site e-commerce et e-tourisme appliqués au développement des territoires.
Un diplôme, voilà ce qu'il manquait à cet autodidacte du Net passionné de mode et du monde artistique.
Côté expérience, à son actif déjà trois sites pour la promotion du commerce et de l'artisanat local et indépendant. Pourtant, ce qui prime dans la démarche du jeune homme, c'est « de sortir de l'ordinateur ce qui y est présenté et inversement, amener l'univers de la boutique dans le site ». Et Jérémy Lafaurie de poursuivre : « A travers mes projets, je veux mettre en avant de jeunes artistes inconnus du grand public et surtout créer de l'affectif et de l'émotion là où on en trouve rarement, c'est-à-dire dans le commerce sur Internet ». Un pari qui semble fou et que l'étudiant a pourtant déjà relevé, en Avignon. Il y a deux ans, il tente un coup de poker et se présente chez Jean Rian, un commerçant de chaussures. Il lui propose alors de créer un site Internet gratuitement, en échange de quoi le commerçant lui laisse une marge de manœuvre importante. Shoes & Art était né. Le concept : « Les artistes sont bénévoles. Grâce au site, j'en fais la promotion. Mon talent c'est de les mettre en contact ». Le commerçant, pour sa part, voit ses produits valorisés. Tous ces artistes, photographes, mannequins, créateurs, et même parfois les clients ou les vendeurs de la boutique sont mis en scène et magnifiés, dans un souci esthétique. Aujourd'hui, c'est à Foix, et notamment au travers d'un stage, que le jeune homme cherche à développer ses idées et son concept.
jeremy-l. jimdo. com ou sur www. JeanRian. com
L'essentiel de la chaussure " Supplément Prenium "
Tres bel article parlant de mon Projet Artistique " Shoes & Art(ist) chez JeanRian.com et de mon état d 'esprit pour la création de JeanRian.com
"
Dee Lux Revue
Parution en Milieu de Magazine + 4eme de Couverture pour le Shoes & Art
Et article sur le parrainage avec JeanRian.com
"Le succès,c'est bien connu, fut toujours un enfant de l'audace. Ainsi fit Jérémy Lafaurie ,initiateur du projet artistique " Shoes & Art " et créateur du site internet www.JeanRian.com .
Projet réalisé sous la parrainage de Jean Rian & Bruno Gobin , un duo spécialisé es-shoes qu'on ne présente plus . Et qui , en plus de faire confiance à Jérémy pour la création gratuite d'un site web de toute beauté, lui ont laisséune marge de manoeuvreimportante pour son lancement.
En echande de quoi , le futur webmaster pouvait mettre en avantson travail basé sur l'art, la création et la mise en avant de l'artiste, des clients, et des personnalités de son équipe, et promouvoir ses idées sur les sites internet . A la clef , se créer un emploi dans une entreprise implantée depuis des années .
Le theme Rockabilly Pinup , tout comme le fil directeur de ce premier " Shoes & Art " ont été proposés par Bruno Gobin . Completés par les idées de Jérémy telles que le choix du Photographe Olivier Montesinos pour sa technique, de partenaires comme le Tommy's café du Pontet, qui a accueilli le tournage, la mise à contribution de modèles atypiques tatouées Pinup,et Mélaine, la jolie vendeuse d'une des boutiques Rian ...
Pour la suite , le site se veut communautaire, vivant , affectif et le reflet des magasins . Son but , mettre en avant les équipes du magasin , mais aussi les clients ainsi que de nombreux nouveaux artistes et meme des créateurs !
Comme Jérémy , les artistes du Shoes & Art , sont autodidactes . Ils sont disposés à répondre à d'autres offres, et disponibles pour en faire idéalement 2 fois par An dans les magasins , ou selon eux, il y a tant de possibilitées avec toujours unen ouvelle technique (graphisme , vidéo, dessin ... )
Al'en croire , c 'est une tres jolie aventure, pleine de belles rencontres, qui, espére t il , sera poursuivie et permettra de montrer que nos artistes locaux ont des choses à exprimer !
Parution dans Avignon City News
Présentation du Projet au Tommy's
Le magasin de chaussures Jean Rian, dans le cadre de l'ouverture de son site internet, a décidé de faire parler de lui.
Sous l'impulsion de son assistant administratif et commercial, Jeremy Lafaurie, l'enseigne a organisé ce lundi 2 mai une séance "shooting photo" au Tommy's (ZI de Saint Tronquet) avec des mannequins, coiffeur et maquilleuse de la région. "L'idée était de faire passer le message : ce n'est pas parce-qu'on est pas à Paris qu'on a pas de talent, alors on est parti sur une idée plutôt déjantée" confie Jeremy, "On a appelé ça Jean Rian présente Olivier Montesinos". Olivier Montesinos, c'est un jeune photographe d'Arles, qui a répondu à l'appel publié sur internet par la marque.
Etudiant à l'école de photographie d'Arles il compte sur ce projet pour prendre de l'expérience et espère des retombées. Un échange de bon procédé partagé par Myss Make Up, maquilleuse professionnelle sur Avignon. Lundi, au Tommy's, presque tous étaient autodidactes. Les mannequins sortaient de l'ordinaire. De Lady Pink Doll et ses rondeurs plus qu'adaptées à la situation, à Lady Torguella, drag queen, artiste et transformiste, en passant par Mélaine, vendeuse du magasin et mannequin le temps d'un week-end, tous et toutes ont adoré l'expérience.
Parution Presse : Lancement du 1er Shoes & Art
Avignon City News" Blog "
Cliquez ici pour voir l'article du 04/05/2011 ( Lancement du Shoes & Artist )
Parution dans le dossier Mannequinat du 14/06/2011
Avignon City News " L'édition "
Cliquez ici pour lire l'interview de Joris " Coiffeur & Mannequin " pour le Projet N°1
&
Article Presse Locale " La tribune "
Avec " Maman " :-) , Pour la création du Site Web " Cuir-boutique.com " , le relooking du magasin de Pierrelatte et l'arrivée des nouvelles Marques !